Filain

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Habitants : 230 Filanois

C’est un trou de verdure où chante une rivière…
Entouré de quelques 419ha de forêt, Filain s’étend sur 1579ha. Sa rivière « la Filaine » prend sa source en cœur de village. Niché entre deux grandes agglomérations : Vesoul à une quinzaine de kilomètres et Besançon à une quarantaine, FILAIN dépend de la deuxième circonscription de la Haute Saône et fait partie de la Communauté de Communes de Montbozon et du Chanois. C’est un havre de paix où il fait bon se promener et découvrir de véritables joyaux historiques. En effet, depuis le Moyen Âge, de riches familles de gentilshommes, seigneurs et propriétaires fonciers ont façonné l’architecture et l’organisation des lieux, laissant apparaître plusieurs hameaux et maisons de maître ainsi qu’un château datant des XVè et XVIè siècles classé Monument historique.

Des tombes remarquables peuplent ainsi le cimetière communal. Celle du Général Marulaz est érigée à coté de l’église Sainte-Antide et plusieurs membres de sa famille reposent dans le cimetière communal. Un arbre remarquable « un tilleul dit De Sully » situé en cœur de village, non loin du lieu où la Filaine prend sa source, recueille les secrets des villageois depuis plus de 400 ans.


Des promenades variées, pour les familles ou les sportifs plus aguerris, peuvent
démarrer ou traverser Filain. L’effort est assuré pour ceux qui rejoindront « Les
Monnins » ou « Les Goichots », quelle que soit la route choisie ! Mais la récompense
sera au rendez-vous, avec notamment un panorama de toute beauté : de son point
culminant à 401m, au lieu-dit Les Monnins il est possible par temps clair d’y
admirer les Alpes suisses, le Mont Blanc, le Lomont et les Roches de Nans et
d’accéder à une zone de pelouses sèches abritant encore quelques orchidées
sauvages.
Un autre de ses hameaux, les Ridets, situé à 3 km au sud du village, est non
seulement connu pour son château mais également pour le parc animalier « La
Guiguite en folie », dont la renommée traverse les frontières régionales puisqu’il
accueille chaque année plus de 70 000 visiteurs.
Le chemin de Saint Jacques de Compostelle traverse notre village. Filain est une étape
pour les pèlerins, et une offre d’hébergement y est proposée.

Les vestiges du néolithique extraits et analysés prouvent que les terres de Filain sont occupées depuis fort longtemps. Ce n’est pourtant qu’en 1159 que la commune est mentionnée pour la première fois dans des écrits officiels, sous le nom de Filain. Elle appartient alors à l’Abbaye de Bellevaux.

Provenant du latin “Fons Lanoe”, Filain signifie “fontaine de Laine”, la petite rivière prenant sa source dans le village étant alors dénommée “De Laine”.

L’histoire seigneuriale de la commune trouve probablement ses racines au Moyen-Âge, avec les familles Petrus de Folens (1160) puis Petrus Miles Fonis Lanae (1225). Plus certainement, Jean et Guy De Filain qui participent en 1217 à la cinquième croisade, influencent la dénomination du village.

La terre de Filain est ensuite possédée par plusieurs familles, qui laissent tour à tour des traces patrimoniales importantes dans la construction et le développement du village, visibles encore aujourd’hui.

Participer au concours pour le label Villes et Villages Fleuris depuis 1995 est l’un des moyen de valoriser notre jolie petite cité, nous appuyant sur des stratégies raisonnées et progressives d’aménagement et de fleurissement de notre territoire dans un processus de développement durable. Venez découvrir au fil des rues nos massifs au fleurissement 4 saisons, agrémentés de mobilier urbain ainsi que nos aménagements paysagers pour ralentir les véhicules et sécuriser les passants.

Au travail de l’employé communal et des élus en fonction s’ajoute un très fort engagement des villageois passionnés qui réalisent avec ardeur un travail d’entretien, de semis, de désherbage et de création de massifs. Un don de vivaces est également organisé chaque année et obtient un vif succès.

Présentation de Filain

Les points remarquables

Le Château de Filain

Construit en 1423 par Guillemette de Tincey, Dame de Filain, le château était un classique bâtiment rectangulaire, flanqué de quatre tours rondes, défendu par des meurtrières et des fossés. Au XVIè siècle, il s’agrandit. Une construction Renaissance est édifiée par la famille De Sacquenay, avec une magnifique façade orientée plein sud, ornée de deux tours carrées, surmontées d’une toiture dont la charpente est dite en « dôme à l’impériale », que l’on retrouve très fréquemment sur les clochers comtois. Deux galeries relient les bâtisses du XVè et du XVIè siècles. Des colonnes doriques et ioniques agrémentent la façade de la cour d’honneur, des sculptures dites « en nid d’abeilles » (que l’on dit unique en France) embellissent la base des colonnes et le pourtour des meurtrières et des fenêtres.
Il est classé monument historique le 20 avril 1944. Un incendie est venu malheureusement endommager une partie de la demeure, et le château a dû fermer ses portes au public au milieu des années 2010.

Cheminée

Le « Petit château »

« Le Petit château »

Une belle demeure, surnommée « le petit château » surplombe la Filaine.
Merveille architecturale de par sa toiture aux tuiles vernissées ressemblant aux Hospices de Beaune, et une partie de sa façade surmontée de « créneaux », cette bâtisse aurait été construite au XVIè siècle et remaniée en totalité au XIXèsiècle.
Autrefois propriété de la famille Boisselet, elle appartient aujourd’hui la famille Ifaja-Zander, venue d’Allemagne pour y établir ses quartiers d’été.

La Corne du Cerf

Au centre du village, en face du bâtiment qui abritait l’école jusqu’en 2006, une belle maison de maître attire toute notre attention.
Appelée communément « la Corne du Cerf », c’est la propriété familiale de la Famille De Leusse, anciennement propriétaire terrienne la plus importante du village.

Maison Forte

La « tombe du Général Marulaz »

le Général Marulaz

Général français de la Révolution et de l’Empire, il repose à côté de l’église Sainte Antide au centre du village. Propriétaire du château et maire du village pendant 40 ans, il repose au côté de son épouse, sa tombe retraçant ses principaux faits d’armes. Cette tombe remarquable a déjà été rénovée à plusieurs reprises, et diverses manifestations lui ont rendu hommage, notamment de régulières prises d’armes du régiment des hussards d’Altkirch.
Des travaux de restauration seraient nécessaires pour rendre la splendeur d’antan à la stèle en pierre ciselée de son épouse, en particulier la croix surplombant sa sépulture, tombée il y a quelques années.

Le « Tilleul dit De Sully »

Planté sur une petite place proche de l’église et à proximité de la source, le tilleul dit de Sully est un magnifique arbre dont l’origine remonterait à l’époque de Sully, ministre d’Henri IV et grand voyer de France. A noter qu’à cette époque, Filain appartenait au Duché de Bourgogne et non au royaume de France comme nombreux le pensent.
Ses dimensions imposantes et son allure (plus de 18m de haut et 4.90m de circonférence au tronc) en font un arbre vénérable. Une démarche de classement comme arbre remarquable est en cours. Il attire les promeneurs pour une pause ombragée, notamment les enfants du village et les pèlerins de passage sur le chemin de Compostelle. L’aménagement d’une table invite les passants à prendre place sous son houppier.

Le tilleul de Sully

L’église Saint Antide

L’église Sainte Antide

Reconstruite au XVIIIè siècle, l’église Sainte Antide est surmontée d’un clocher à l’impériale en tuiles vernissées. Elle abrite un ensemble de boiseries de style Louis XVI, un Christ aux liens et une Vierge de Pitié du XVIè siècle, des toiles et des statues du XVIIè et XVIIIè siècles, 4 œuvres classées par les Monuments Historiques ainsi que de superbes vitraux.

  • La petite cloche en bronze, 1788, par Brenel et Jacquot, classée le 11 juillet 1942, offerte par Henri Boisselet alors maire du village et son épouse. Elle est gravée d’une mémorable épitaphe « Je loue Dieu. J’appelle les vivants. Je pleure les morts. »
  • Une toile de Hecht, également de 1788, représentant St Antide, classée avec les 2 oeuvres suivantes le 29 septembre 1970.
  • Une toile de la Vierge à l’Enfant, entourée d’anges, XVIIIè siècle
  • Une toile vers les fonds baptismaux en bois peint, époque Louis XVI

À faire

Partant d’un cœur de village, riche d’un patrimoine architectural et naturel d’exception, de nombreux chemins vous conduisent dans un espace parsemé de hameaux, forêts et végétation dense. De nombreux circuits sont réalisables, à même d’étonner et de réjouir chaque visiteur.

Centre du village
Centre du village

  • Le Circuit des Panoramas (circuit VTT61). Il démarre du cœur du village, pour les sportifs de tout niveau). Il s’étend sur 32 Km, passant par la chapelle Sainte Anne (commune de Vellefaux) puis quelques fermes isolées pour rejoindre Dampierre Sur Linotte, rejoignant à nouveau Filain par le sentier de Compostelle. Temps estimé : de 1h45 à 2h50 selon niveau, avec un itinéraire de liaison à mi-chemin
  • Sur le chemin de Compostelle : cinquième journée du chemin de Compostelle sur les 10 qui jalonnent la Franche Comté sur une longueur de 220km entre Angeot (Territoire de Belfort) et Mont Roland (Jura), vous rejoignez Filain depuis Villersexel, après avoir suivi la voie verte dessinée dans la plaine le long de l’Ognon, sur un circuit émaillé d’histoire. Vous repartirez via la forêt communale, traversant deux des hameaux filanois pour rejoindre Authoison, en direction de Maizières. Distance estimée : entre 24 et 27 km
  • Un circuit RIS et de nombreux sentiers
  • Des promenades variées pour les familles ou les sportifs plus aguerris peuvent démarrer ou traverser Filain. L’effort est assuré pour ceux qui rejoindrons les hameaux « Les Monnins » et « Les Goichots » et la récompense sera au rendez vous en offrant au randonneur un panorama de toute beauté, notamment, à 401m d’altitude, un point de vue dégagé sur les montagnes avoisinantes : Alpes Suisses, Mont Blanc, le Lomont, les Roches de Nans…et un accès à une zone de pelouses sèches abritant encore quelques orchidées sauvages.
  • Le chemin menant au hameau « Les Foulnots » vous permettra de rejoindre Neurey-lès-la-Demie. Un peu plus tôt sur cette même route retirée de toute habitation, vous pourrez rejoindre le site de Sainte Anne sur la commune de Vellefaux en suivant l’ancien chemin des pèlerins.
  • D’autres chemins en forêt proposent différents circuits, entre les hameaux des « Ridets », du « chemin du bois » , rejoignant « les gambes » à la lisière de la commune d’Echenoz le sec.
  • Une promenade dans le village classé VVF.
  • Le Circuit des Panoramas (circuit VTT61). Il démarre du cœur du village, pour les sportifs de tout niveau). Il s’étend sur 32 km passant par la chapelle Saint Anne (commune de Vellefaux) puis quelques fermes isolées pour rejoindre Dampierre Sur Linotte, rejoignant à nouveau Filain par le sentier de Compostelle. Temps estimé : de 1h45 à 2h50 selon niveau, avec un itinéraire de liaison à mi-chemin.

À vivre

  • Les balades insolites et gourmandes : à deux reprises chaque été, l’Office de tourisme du Pays des 7 rivières propose, sur inscription, une visite guidée du village durant laquelle vous pourrez découvrir le patrimoine historique, culturel et cultuel du village mais également les anecdotes que seuls quelques aînés du village connaissent. Après ce parcours riche en émotions, vous serez convié à un apéritif convivial devant la mairie au cours duquel vous pourrez déguster des spécialités locales. Vous pourrez retrouver les dates de visite ainsi que le programme complet sur le site www.tourime7rivieres.fr dans la rubrique agenda.
  • Visites contées filanoises : lors des journées du patrimoine en 2022, l’association Filain s’en va t’en rêve organisera sa première édition des « visites contées nocturnes filanoises ». Une ballade aux flambeaux conduira un groupe de spectateurs à divers lieux choisis du village. Ces récits allieront une part de contes, un part d’histoire et de légendes locales.
  • Parc animalier « la Guiguitte en folie » au château des Ridets

À voir

  • Le cimetière du village et ses tombes remarquables. Plusieurs tombes vénérables viennent enorgueillir notre cimetière communal. Ainsi, dans sa partie centrale, sont érigées deux tombes en pierre de deux prêtres, fidèles à la paroisse de Filain durant de nombreuses années. Sous la grande croix ci-avant évoquée, on peut lire « Mission de 1894 ». Sont également inscrits les noms des « enfants de la paroisse morts pour la Patrie » pendant la guerre 14/18. La tombe de César Marulaz est également un élément remarquable de ce lieu dédié au repos et à l’hommage. Fils du Général Marulaz, chef d’escadron, Commandant de la place de Péronne, il décède le 1er avril 1870 et se fait enterrer à Filain aux côtés de son épouse. Leurs deux mains jointes moulées puis gravées dans la pierre en font une sépulture spéciale, connue et visitée par les villageois et les visiteurs de passage férus d’histoire.Les caveaux des familles Demandre, Boisselet et De Leusse sont également en tous points admirables, de petits monuments érigés pour la mémoire de tous leurs défunts, souvent illustres personnalités du village, fortement investis dans la vie municipale, le développement et l’embellissement Filanois.
  • La source : jolie construction de forme semi-circulaire, ses margelles et son mur d’enceinte ont été restaurés en 2014 en tenant compte des consignes et conseils de l’architecte des Bâtiments de France.
  • Les lavoirs : construits en pierre calcaire et gélive de l’ancienne carrière de Filain, ils avaient subi les assauts du temps. Ils ont été réhabilités par un artisan local avec des blocs de pierre taillés « sur mesure » dans une carrière haut-saônoise. Autrefois construit dans l’enceinte actuelle du château, le lavoir est quant à lui transposé dans la première moitié du XIXè siècle à son emplacement actuel. Sa toiture est entièrement restaurée en 2015 par « Charpente Filanoise », entreprise professionnelle locale. Ce lavoir en « vis-à-vis » a été utilisé jusqu’en 2010 par une habitante du village, Marie-Louise, qui allait chaque semaine y rincer son linge. Aujourd’hui il est l’un de ces lieux où les passants filanois et visiteurs aiment flâner et s’asseoir sur les bancs de pierre tout en se laissant porter par les bruissements de l’eau qui s’écoule.
Cimetière
La Source
Lavoir
  • Le verger de sauvegarde. Dans un souci de transmission aux générations futures mais aussi de sauvegarde du patrimoine végétal, un verger composé de quinze arbres fruitiers de variétés anciennes et locales (cerisiers, pruniers, mirabelliers, cognassiers et pommiers dont la très locale « cul pointu de Montbozon ») a été planté en janvier 2019 sur l’esplanade entre la mairie et le local communal. Il offre également un habitat favorable à de nombreux insectes pollinisations. Un aménagement avec deux tables de pique nique permet aux passants et aux villageois de venir chercher l’ombre et le repos en été. Les enfants aiment s’y retrouver pour jouer et partager un goûter. Des actions à destination de la population (toutes générations confondues) et en collaboration avec l’Association des Croqueurs de Pommes sont prévues. Elles auront pour objectif la découverte ou le perfectionnement des techniques d’entretien, de taille et de greffe des arbres fruitiers tout en favorisant un renforcement des liens sociaux et de la politique de démarches participatives. Des ateliers de récolte de fruits et de fabrication de confiture, pâtisseries… sont envisagés avec les enfants.
  • Le Château des Ridets, la Guiguitte en Folie. À trois kilomètres de là, le « château des Ridets », qui porte le nom du lieu-dit où il est situé. Cette construction du XIXè siècle est assez atypique avec ses petites tours rondes et carrées, sa belle verrière abritant la terrasse, et derrière, un beau corps de ferme qui abritait autrefois des écuries. Une singularité est à noter dans cette demeure : c’est le nombre de cheminées. Dotée d’une trentaine de pièces, elle possède presque autant de cheminées pour les chauffer. Le caractère un peu « alsacien » observé à l’extérieur avec un semblant de construction à « colombage » est confirmé à l’intérieur. Il porte les traces d’imposants fourneaux alsaciens qui chauffaient l’habitation, arrangements orchestrés par le propriétaire de l’époque qui a affirmé ses origines. Le site des Ridets, figure sur la carte de Cassini de 1764. Il est qualifié du terme de « grange », signifiant aussi bien un bâtiment qu’un domaine rural créé à une certaine distance de la seigneurerie dont il dépendait. La pierre transversale placée au-dessus de la fenêtre des communs porte l’inscription : « ANTIDE THOMAS Dieu soit béni 1717 ». Saint Antide, ancien évêque de Besançon, martyrisé lors de l’invasion des Vandales au VIe siècle, est le patron de la paroisse de FILAIN à laquelle est rattaché le hameau. Pour la commune, ce site est désigné par le terme « d’écart ». On y retrouve les restes de plusieurs bâtiments aujourd’hui détruits. Avant 1850, figuraient sur les plans l’ancienne ferme et la maison dite « des communs » habitée par un certain Thomas. Est-ce lui qui a gravé la pierre à son nom, ou a-t-elle été empruntée à un bâtiment plus ancien ? La maison principale d’habitation a été bâtie par Antoine BAILLY, ancien notaire résident à Dampierre sur Linotte, sur une parcelle qu’il avait achetée à un certain PETIT, sans doute vers 1850. Il avait épousé Caroline MARULAZ, fille du général MARULAZ, propriétaire du château de Filain. Aujourd’hui propriété de la famille Nicolas, elle a crée en cet endroit un parc de loisirs accueillant des milliers de visiteurs chaque année, faisant ainsi vivre les lieux.
Le château des Ridets

Spécialités

  • Le miel : Jacques Tonnot, l’apiculteur Filanois depuis 2010, produit chaque année du miel de différentes variétés, qu’il vend sur les marchés mais aussi chez lui au village, pour le plus grand plaisir du palais. Toutes ces variétés sont obtenues grâce à la «transhumance» de certaines ruches sur différents emplacements du territoire, choisis en fonction de leurs implantations en termes d’arbres ou de plantes mellifères et nectarifères.
  • Le bois : La SARL Charpente Filanoise s’est donnée quant à elle une véritable identité local grâce à son nom et son savoir-faire. Deux amis charpentiers, Olivier Pizard et Jean-François Gillot, ont ainsi décidé de « lancer leur affaire » en 2008. Aujourd’hui,
    l’entreprise s’est forgé une excellente réputation dans le domaine de la charpente (neuf et rénovation), mais aussi en couverture, zinguerie, démoussage, fenêtres de toit, terrasse bois, bardage bois, tonnelle, marquise, solivage et plancher. Cette entreprise qui respire la jeunesse et compte à ce jour sept employés, rayonne sur environ 50 km.
  • Le gruyère : le GAEC Blandin s’est spécialisé dans une production laitière bénéficiant d’une
    Indication Géographique Protégée (IGP) « gruyère de France », impliquant des règles strictes telles un temps de pâturage important des 80 vaches laitières (et 80 génisses à différents âges en termes d’élevage pour le renouvellement du cheptel), une alimentation sélective (pas d’aliments fermentés ni OGM), pour lesquelles sont récoltés fourrage, betteraves, orge, mais et un peu de blé pour la vente.

Coordonnées des associations locales

Parcours proposé


Garez votre véhicule sur le parking de la mairie, aux abords du verger de sauvegarde et du Monument aux morts situés derrière le bâtiment qui sera la première étape de votre parcours. Vous pourrez ensuite descendre la rue de Soirey (en prenant à gauche en sortant du parking de la mairie) pour arriver à l’intersection avec la route départementale 25 qui traverse le village. De part et d’autre de cette route, vous pourrez admirer deux de nos aménagements paysagers pour ralentir les véhicules aux entrées du village et sécuriser les habitants. Dirigez vous ensuite vers l’église Sainte Antide qui abritent plusieurs œuvres classées. En faisant le tour, vous découvrirez la tombe du Général Marulaz. Descendez ensuite en direction de la rivière « la Filaine ». Vous pourrez observer sur votre droite une belle maison de maître : la Corne du Cerf et sur votre gauche, le tilleul dit « de Sully ». Lorsque vous arriverez à La source , prenez la « ruelle de la source » sentier sur la gauche qui grimpe en direction du petit château . Lorsque vous arriverez en face du petit château , prenez à droite et marchez jusqu’à l’intersection indiquant « les Goichots » puis tournez à droite pour descendre le sentier qui mène aux lavoirs en vis-à-vis. Si vous levez la tête, vous apercevrez le château de Filain que vous pourrez contempler à travers les grilles. Vous pouvez regagner l’église Sainte Antide et vous diriger dans la rue haute puis la rue des Monnins où vous découvrirez le cimetière communal et ses tombes remarquables. En continuant jusqu’au hameau « les Monnins », situé à 3 km et à 400 mètres d’altitude, vous découvrirez un magnifique point de vue sur les montagnes avoisinantes. Vous pouvez également vous rendre au hameau « les Ridets » situé à 3 Km et dont la route longe le château de Filain pour admirer le château des Ridets et passer quelques heures au parc animalier la Guiguite en folie .